Tizistwar Nou Pays

Cyclonn class 4

Toutes les histoires ne commencent pas par «Il était une fois…» Lorsqu’on était petit, elles commençaient souvent par «tint tint tint tint… tint tint tint tint». Quand on entendait ce générique à la radio, on s’approchait pour écouter avant de courir avertir tout le monde en criant à haute voix : «Enn siklonn pé vini……

Fim indien

«Dégazé fini manzé boner, fim indien pou koumansé la.» Cette phrase, nombre de Mauriciens l’entendaient les jeudis soir à la maison lorsqu’ils étaient petits. Le film du jeudi commençait à 20 h 05 et toute la famille se retrouvait dans le salon pile à l’heure, car il était hors de question de rater la moindre…

Cyclonn class 4

Toutes les histoires ne commencent pas par : « Il était une fois… » Lorsque nous étions enfants, elles commençaient souvent par «tint tint tint tint… tint tint tint tint». Quand nous entendions ce générique, on s’approchait de la radio pour l’écouter avec attention, avant de courir et avertir tout le monde en criant :…

La boutik sinoi

« Kisann-la pou vinn avek mwa laboutik ? » Lorsqu’on était petit, on se hâtait de répondre : « Mwa ! Mwa ! Mwa ! » à cette question. Accompagner un adulte à la boutique représentait un voyage dans un univers qui nous faisait rêver, et on y revenait toujours avec plein de choses à…

Siro zanana

« Bann zanfan zordi pa assé gagn baté. » Cette phrase, on entend souvent les adultes la prononcer pour nous rappeler qu’à l’époque, les parents étaient bien plus sévères et n’hésitaient pas, à l’occasion, de nous donner enn rinsé.Même s’il y avait bien des parents qui ne frappaient jamais leur enfant, beaucoup croyaient fermement dans…

Lavey lané

En ce temps-là, au Nouvel An régnait une ambiance qu’on ne retrouvait pas les autres jours de l’année. Il y avait des couleurs, un feeling, un parfum…Dans la plupart des cours à Maurice, il y avait des arbres fruitiers et, à cette période de l’année, les pié mang étaient chargés de mangues et les pié…

Zwé boul

En ce temps-là, les enfants jouaient au football dans la rue. Dès qu’ils rentraient de l’école, les jeunes du coin se rejoignaient pour des matches qui duraient jusqu’à la tombée de la nuit ou jusqu’à ce que la maman de celui à qui appartenait le ballon l’appelât pour venir faire ses devoirs.À cette époque, il…

Salon coiffèr

« James, gett enn kou ki ou kapav fer pou mo ti-bolom la. Fer li enn zoli lakoup met li dan pop. » Notre coiffeur s’appelait James. Il était le seul qui avait l’immense privilège de placer ses ciseaux dans mes cheveux et ceux de mes frères, tant notre papa en était fier. Chaque fin…

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